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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Je m'étais levée de bonne humeur ce matin. J'avais retrouvé Aidan, nous nous étions expliqués sur la vie actuelle que nous avions et sur les causes de notre rupture dans le passé, tout était clair à présent et je me sentais mieux, malgré le fait qu'il soit marié. En effet, ça me faisait du mal de le savoir avec une autre femme mais après tant d'années de séparation, il était évident qu'il est refait sa vie ailleurs, mais pourtant, il était malheureux avec sa femme actuelle. Et ça me rendait triste. C'était insupportable pour moi, de le savoir malheureux...

Passons, j'étais partie boire mon café du matin, puis j'étais partie prendre une douche. J'enfilais un jean slim troué, un débardeur noir assez court, et une paire de boots noir. Oui, j'étais une mécanicienne qui travaillait toujours habiller de façon féminine, à la limite du sexy. Il faisait chaud dans mon garage, alors je n'avais aucune peine à combattre le froid qu'il y avait dehors. J'avais laissé mes cheveux naturels, et je m'étais mis une petite touche de maquillage. Je partais ensuite au garage, tout de même bien couverte. Je passais d'abord dans mon bureau afin de jeter un oeil dans les dossiers et dans mes mails, et je commençais le travail, toujours avec un fond musical. Je n'avais pas encore d'employés dans mon garage et ce n'était pas plus mal, bien que Avery's Garage commençait à être bien côté, et qu'il allait certainement falloir de la main d'oeuvre en plus. Alors que j'étais en train de regarder le moteur d'une mini cooper, j'entendais quelqu'un rentrait dans le garage. Et là, ce fut la surprise, Aidan. Je fis un large sourire en le voyant, et je le laissais s'approcher de moi, tout en m'essuyant les mains, avec un chiffon. Je le pris dans mes bras, je lui fis un bisou sur la joue, et je lui dis.

« Aidan, je suis contente de te revoir. Qu'est-ce qui t'amène, comment ça va ? »

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Lya & Aidan

Depuis que j'ai revu Lya dans le parc, ma vie avait changé oui je la savais ici près de moi et même si nous étions que de simples amis comme elle l'avait voulu vu les circonstances étant marier et bientôt papa. Mais je savais que je pouvais compter sur elle et la revoir m'a rendu heureux et depuis ce jour je n'arrête pas de pensée à elle encore plus qu'avant. Je repensais aussi à notre baiser, je l'avais tellement aimé même si c'était court mais je m'en souviens encore, elle embrasser toujours aussi bien je ne me lasserais pas de l'embrasser à longueur de journée. Mais je me dis que je n'étais malheureusement pas là de pouvoir sentir ses lèvres contre les miennes vu qu'on doit se retenir malgré l'envie de se sauter dessus, j'avais l'impression que je n'y arriverais jamais. Comment se retenir face à la femme que j'aime c'est douloureux. Mais Lya était célibataire à mon plus grand bonheur et maintenant faut que je surveille qu'aucun mec ne lui tourne autour, il ne faudrait pas qu'un mec me la pique si près du but, on avait avoué nos sentiments, nos pardons alors à mes yeux Lya était à moi et à personne d'autre alors celui qui l'approche je lui ferrais comprendre qu'elle n'est pas une femme libre même si elle est libre mais son cœur est prit.

Ce matin je me réveille tôt et malgré que je sois en vacances pas de grasse matinée, je regarde Saige qui dormait encore profondément. Je n'avais plus sommeil alors je me lève délicatement sans réveiller Saige et part prendre ma douche pour me réveiller et profiter de l'eau chaud qui coule sur moi. Après ma douche je décide de me faire beau, enfin de mettre une chemise et d'aller voir Lya j'avais pensé à cela sous la douche. Je m'habille et enfile un jean's gris et une chemise blanche mais après réflexion je retire cette chemise et en met une noire, une chemise blanche dans un garage s'est risqué. Je me coiffe bien et me parfume je sais que Lya adore ce parfum alors je mets sont préféré. J'enfile mes chaussures et je descends déjeuner, boire un bon café c'était primordial et déjeune avec des tartines grillées pour changer avec de la confiture. Je regarde l'heure je voulais être l'un de ses premiers clients pour lui faire une surprise malgré qu'elle ma conseiller de venir quand je voulais. Je remonte dans la salle de bains et me brosse les dents. Voilà j'étais prêt pour partir. En descendant je laisse un mot sur la table pour Saige sinon elle risque de péter un câble et je marque que je suis partie à la bibliothèque. Je pars ensuite direction le garage de Lya.

Une fois sur place je me gare et descends en fermant ma voiture à clé et j'entre et mon regard se pose directement sur Lya entrain de travailler sur un moteur, je la fixe et la trouver sexy, une femme mécanicienne c'était juste magique. Il n'y a pas à dire mais la voir pencher sur son moteur ça m'excite. Je vois son large sourire et je fais de même, je peux voir sa joie de me voir, je m'approche d'elle et la laisse s'essuyer ses mains et elle me prend dans ses bras, je la tiens par la taille et lui fais la bise tout en la regardant, whaou la voir en débardeur noir assez court, j'avais les yeux qui pétillent, la dernière fois elle était habillé et avait son manteau mais là comment elle veut que je résiste sérieusement, j'ai limite sa poitrine sous le nez. Fallait que je m'enlève ses idées de la tête et je me répète que c'est une amie.

« Moi aussi je suis content de te revoir, surtout en plein travail, j'avais toujours rêvé de te voir à l'action. Je te dérange j'espère ? Ce qui m'amène, et bien rien de spécial à part l'envie de te voir et tu m'as promis un café. Je voulais voir ton où tu travailles. Je vais beaucoup mieux depuis que tu fais de nouveau partie de ma vie, j'ai l'impression que ma vie est moins sombre. Et toi tu vas bien ?»

Je regarde ensuite autour de moi, et regarde son garage il faisait bien chaud ici ou c'est moi qui avais des vapeurs en voyant Lya j'en sais rien. Je regarde les voitures et je termine par poser mon regard sur le moteur où elle travailler avant mon arrivée et rien cas regardait je n'y comprends pas grand chose à ce qu'elle fait. Mais ça me fait sourire, puis je la regarde de nouveau dans les yeux tout souriant, elle me donne tellement le sourire que je ne peux m'empêcher d'avoir un immense sourire face à elle...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Le baiser échangé quelques jours auparavant avec Aidan, m'avait un peu donné certaines envies. Il est vrai qu'il embrassait toujours aussi bien et que quand il posait ses mains sur mon corps, il me faisait toujours autant d'effet, bien que nous n'avions pas le droit de dépasser les limites. C'était clair pour moi, tant qu'il serait marié, Aidan et moi ne serions que des amis, avec une envie l'un de l'autre, certes, mais nous étions des adultes et il fallait savoir se comporter comme tels. Aidan trompait sa femme, à droite et à gauche et au fond de lui, il ne devait pas comprendre pourquoi je ne voulais pas craquer, mais c'était ma personnalité, j'étais incapable de coucher avec un homme, qui est marié en plus de ça. Mais Aidan, ce n'était pas un homme comme les autres. Non, Aidan était mon premier amour, et qui sait, peut-être le dernier. Je ne me faisais pas trop d'illusions, par peur d'être déçue, mais à vrai dire, il me manquait déjà. Il avait traversé l'océan pour essayer de me retrouver, et ça, c'était la plus belle preuve d'amour qu'il ne m'a jamais faite.

Passons, je devais me concentrer sur mon travail à présent. J'adorais prendre mon temps en m'occupant des voitures, je faisais un bon travail parfois rapide mais j'étais toujours aussi douée. Je pouvais remercier mon père, sans lui je n'aurais jamais été une professionnelle dans le milieu, c'est lui qui m'avait tout appris, et bien heureusement, j'aurais certainement dû faire des études bien plus approfondies pour devenir mécanicienne autrement. Je m'occupais de la voiture d'un client, macho au passage, lorsqu'il m'avait vu dans le garage, il m'avait clairement demandé où était les vrais employés. Ma répartie l'avait laissé sur le cul, comme on dit, car il n'avait plus rétorquait. Et au final, il verra par lui-même que j'étais peut-être même plus douée qu'un homme, c'est ce que disait en tout cas certains clients. Je travaillais sur le moteur, vêtue de façon féminine, peut-être même un peu sexy, et pourtant j'étais très à l'aise. Je bougeais aussi un peu sur le rythme de la musique mais quand j'entendais du bruit je m'étais redressée aussi tôt. Aidan était là, j'étais contente de le voir. Après l'avoir pris dans mes bras et lui avoir fait la bise.

« Et bien voilà, aujourd'hui tu me vois à l'action. Non tu ne me déranges pas, t'en fais pas, je regardais juste ce que j'avais à changer là-dedans. C'est ok pour le café alors ! Je suis contente que tu ailles mieux, et je dois te dire que depuis que tu as refait ton apparition et bien je vais mieux aussi. »

Je fis signe à Aidan de me suivre pour aller jusqu'au bureau afin de lui servir un café. Il était vraiment beau dans sa chemise avec son jean, très sexy, c'était ça le mot ... Nous arrivions donc dans mon bureau, je lui servis un café, et je lui donnais. Je souris, avant de reprendre.

« Bon, quoi de neuf ? Avec ta femme, ça en ai où depuis la dernière ? J'espère que tu ne t'ai pas trop fait engueulé quand tu es rentré du parc... »

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Lya & Aidan

Je savais que pour récupérer Lya dans ma vie de façon amoureuse je devais quitter ma femme, mais bon c'était difficile je ne pouvais pas le faire de suite comme cela, mais je perdais du temps pour la récupérer et de la savoir libre comme l'air à m'attendre me rendait fou car j'avais qu'une envie lui prouver tout l'amour que je lui porte, la rendre une femme comblée et malheureusement j'étais obligé de la faire patienter et je ne savais pas combien de temps. Mais j'avais un point positif elle était de nouveau entrer dans ma vie et c'était un beau cadeau même si j'avais forcé le destin pour qu'on retrouve le même chemin. La voir face à moi me donner le sourire, un sourire qui voulait en dire long. Mais j'étais amoureux de cette femme et je devais être comme un adolescent qui est amoureux pour la première fois, au fond ce n'étais pas faux vu que Lya avait était la seule femme que j'ai aimée et que j'aime toujours au plus profond de moi, mon cœur battait pour elle. J'étais prêt à tout pour elle, même décrocher la lune si elle le voulait je le ferrais.

J'étais heureux car étant en vacances j'avais tout mon temps libre à profiter et de passer du temps à venir la voir, alors je passais d'agréables vacances même si j'ai des copies à corriger et préparer mes cours de droit pur la rentrée mais je n'étais pas pressé du tout, mais vu que j'avais marqué sur un papier à ma femme que j'étais partie à la bibliothèque j'avais intérêt à y aller et revenir avec des photocopies ou livre et faire des photocopies sinon elle aller se douter que je n'étais pas à l'endroit que j'ai précisé et je voulais éviter qu'elle pète de nouveau un câble pour pas grand chose. Mais là je profite d'être au garage de Lya et profiter de sa présence. Là voir travaillé sur le moteur me rendait heureux, je pouvais rester ici à la regardait travailler toute là journée je ne m'en lasserais pas tellement elle est belle, à mes yeux c'était une déesse et elle avait un corps magnifique, elle était réellement bien faite. Les clients qui amènent leur voiture devaient bien mater et au fond je les comprends je fais de même mais moi j'ai le droit c'est celle que j'aime.

« Oui, et je dois t'avouer que j'aime beaucoup te voir à l'action, je m'écouterais je resterais la journée à te regarder travailler sur les moteurs. Je surveillerais les clients qui doivent te mater ou même te draguer, même si tu dois en voir de toutes les couleurs quand ils voient une mécanicienne arriver à la place d'un homme. Ils doivent te prendre pour une secrétaire. Si tu vas mieux ça me rend heureux et si tu vas bien je vais forcément bien. »

Je souris, la savoir heureuse grâce à moi cela me faisait très plaisir. Quand elle me fait signe de la suivre, c'est ce que je fais et la suis jusqu'à son bureau où elle me prépare un café. Quand elle me fait signe de la suivre, c'est ce que je fais et la suis jusqu'à son bureau où elle me prépare un café. Quand elle me donne mon café je la regarde en souriant.

« Merci.Il y a pas grand chose de neuf et avec ma femme c'est toujours au même point, c'est toujours autant compliqué entre elle et moi. Moi on se parle et moins on se voit mieux sait et malheureusement je ne travaille pas, mais elle oui donc j'ai un peu les journées tranquilles ça me fait du bien... Non ça était, on ne sait presque pas parler et on a était faire ses courses comme ça j'avais la paix elle avait sa lessive, mais elle a toujours ses hormones et s'énerve pour rien. Mais je tente de tenir bon en pensant à toi ça m'aide.»

Depuis qu'elle a réapparu dans ma vie je n'arrêtais pas de penser à elle, jour et nuit j'avais Lya dans la tête et j'avais même rêvé d'elle le soir même ou je l'avais vu l'après-midi au parc et c'était un rêve très agréable et un peu hot, mais à mon réveil la déception ce n'était qu'un rêve et à mes côtés ce n'était pas elle mais ma femme, cette nuit là après je m'étais levé je n'arrivais plus à dormir après un rêve pareil et j'avais repensé une bonne partie de la nuit à notre baiser, à notre câlin et son odeur qui me rendait si dingue.

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Aidan était venu me voir au garage, et ça, c'était une excellente surprise. J'allais pouvoir passer du temps avec lui, et ça ne pouvait que me faire plaisir. J'allais perdre du temps pour mon travail mais à vrai dire, ce n'était pas important, Aidan passait bien avant ça, et ce, depuis toujours. Je me souviens encore, au lycée, il m'arrivait de faire la mauvaise élève, et sécher les cours pour retrouver mon tendre amour, afin de prendre du bon temps ensemble. Aidan et moi nous entendions sur tout les points. Au niveau du caractère, du physique, mais nos ébats amoureux étaient aussi parfaits. Aidan me disait souvent qu'il aimerait me faire l'amour dans des endroits insolites, et je me doutais qu'à ce moment précis, en écoutant ce qu'il me disait, il devait mourir d'envie de me faire l'amour dans le garage. Je le connaissais par coeur, et je riais d'ailleurs à sa réponse. Il disait pouvoir me regarder toute une journée à bosser sur des moteurs, et cela confirmer bien ce que je pensais. Ah Aidan avait toujours ces idées folles qui me faisaient réellement craquer. Sa joie, sa bonne humeur, son petit côté fou, et enfantin me plaisait, et m'avait toujours plu. Rien n'avait changé finalement, seulement le fait qu'il était marié et qu'il allait être papa, mais lui, au fond, il était toujours le même, et j'en étais bien contente.

Nous nous étions retrouvés dans mon bureau, à boire le café que je lui avais promis. Je m'étais permise de lui demander comment c'était dérouler la suite des aventures avec sa femme. J'avais beaucoup repensé à ce qu'il m'avait dit, et je le plaignais. Vivre au quotidien avec une personne que l'on n'aimait pas comme on le devrait, et bien ça ne devait pas être facile à vivre. Même pour cette pauvre femme, je n'aimerais pas être à sa place. Je m'étais d'ailleurs imaginée, être elle. Si c'était moi sa femme, sa femme qu'il n'aimait pas amoureusement. Si c'était moi, sa femme, enceinte de lui, d'une petite fille, dont il ne voulait pas. Je n'aurais sûrement pas supporté cette chute. Bien heureusement, je n'étais pas à sa place, et j'en étais bien contente, au fond de moi.

« Il faut que tu sois patient mais surtout courageux. Tu dois simplement prendre une décision, lui parler avant l'accouchement, ou après. Honnêtement Aidan, je pense que tu devrais le faire avant. Au moins, cette petite fille ne connaîtra pas la souffrance de voir ses parents se déchiraient. En ce qui concerne ses hormones, et bien, bon courage, ce n'était que le début. Tant mieux si ça t'aide. Je suis contente. »

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Lya & Aidan

Je ne voulais pas la déranger lorsqu'elle travaille, mais là je n'avais guère le choix car mon seul moyen de la revoir était le garage je savais qu'elle travailler ici et je n'avais rien d'autre pour le moment pas d'adresse ni téléphone faut que je lui demande au moins quand ça n'irait pas je pourrais l'appeler, elle a toujours les mots qui me font aller mieux et rien que d'entendre sa voix je suis certains de me sentir mieux. Déjà au lycée quand je n'allais pas bien à cause de mes parents ou que j'étais énervé je l'appelais et ça me calmer. Tous nos moments au lycée étaient magiques ainsi que quand ont sécher les cours pour passer la journée rien que tous les deux, j'en garde de très bons souvenirs malgré qu'on se faisait disputer quand nos parents l'apprenait mais ça nous empêcher pas de recommencer un coup de temps en temps. L'amour est plus fort que tout et il n'y a que cela qui compter. Lya était différente de Saige, au moins avec Lya on n'avait pas de prise de tête, enfin on en a eu quelques-unes mais c'était jamais vraiment grave, on se pardonner toujours et rapidement. Aujourd'hui j'aimais toujours faire l'amour dans des endroits insolites et avec Saige ce n'est pas vraiment le cas vu qu'on se dispute les trois-quarts de notre temps. Rien qu'à l'idée de se faire surprendre j'adorais cela et je voulais essayer partout dans des endroits à risques et ici même au garage personnellement je n'ai jamais fait et l'idée de le faire sur une voiture me tenterait bien, après tout je l'ai déjà fait dans une voiture mais jamais sur une voiture et sur le capot ça doit être bien en se dépêchant un peu car un client peut arriver à tous moment c'est ça que j'aimais et le faire avec Lya c'est l'extase assurée. Enfin déjà si je pouvais la regarder travailler serait tellement bien, malgré que quand elle serait penchée sur la voiture, je me verrais bien l'aider en me mettant derrière elle et coller mon corps au siens et passer mes bras à sa taille pour pouvoir toucher le moteur, enfin c'est plutôt Lya qui me donnerait des cours de mécanique mais j'avoue que sous cet angle je veux en prendre immédiatement. Bref fallait que j'arrête de pensée, on est amis, mais j'avais envie d'elle surtout qu'elle est sexy en débardeur bien court et bien moulé comment ne pas craqué à un corps pareil. Mais si elle refuse malgré l'envie que j'ai d'elle, je serais capable de me déshabiller pour la faire craquer et mon corps à changer je n'avais plus celui d'adolescent, j'étais musclé maintenant et plus qu'avant, j'étais certains qu'elle va fondre si elle refuse.

C'est sûr que ce n'est pas facile à vivre tous les jours d'être avec une femme sans de vrais sentiments, on fait que se disputer pour des conneries des fois. Des jours après le boulot je n'étais pas pressé de rentrée chez moi, soit on se dispute soit on se parle à peine voir pas du tout. Je savais que Saige va souffrir et j'ai surtout peur de sa réaction déjà lors de nos disputes elle est têtue et peut être blessante dans ses paroles même si je ne le montre pas et je lui rends l'appareil en la faisant souffrir verbalement aussi... J'écoutais Lya tout en buvant mon café.

« Courageux je le suis je supporte ma femme depuis six ans sans amour et patient ça je peux l'être mais ma patience à des limites. Mais j'aimerais lui parler mais ce n'est jamais le bon moment, puis avant l'accouchement j'ai peur pour le bébé elle va être dans un état que ça ne sera pas bon pour le bébé, j'ai vu sur internet que le bébé ressent quand sa mère va mal etc, pour ça j'avais pensée après l'accouchement, le bébé comprendra pas que ses parents se déchirent enfin je crois. Merci tu ne me rassures pas là, tu veux dire que ses hormones vont empirer aux files des mois ? Si ce n'est que le début je n'ai pas fini de gueuler et m'énerver sur elle, avec ses hormones je ne la supporte encore moins. »

Va falloir que je m'accroche si les hormones de Saige continuent ou empirent, c'est énervant de pensée que je pourrais être bien avec Lya à vivre tout notre amour comme on le devrait mais non ce n'est pas possible à cause de moi et j'arrivais pas à parler à ma femme pour le moment, j'étais un peu mort de trouille. Je m'approche de Lya et lui remets une mèche de cheveux en place et je lui souris tout en la regardant.

« Une mèche de cheveux qui n'était pas à la bonne place.»

Je dépose ma tasse sur son bureau et je la fixer dans ses magnifiques beaux yeux, j'adorais son regard et la couleur de ses yeux...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Nous étions en train de discutés dans mon bureau. Et le sujet principal, était sa femme. Aidan était courageux, supporter les hormones d'une femme enceinte n'était pas de tout repos. Aidan se confiait en quelque sorte à moi, et je savais que cela lui faisait du bien. J'étais là pour lui, tout comme il avait été là pour moi lorsque ma mère était tombé malade, bien qu'il m'est quitté lorsqu'elle était décédée. Je ne lui en voulais pas, il n'avait pas à supporter mon malheur, il était jeune, beau, je ne le rendais plus heureux et tout ce que cet homme méritait, une femme qui le rendait heureux. Aidan et moi avions pleins de projets à l'époque. Nous voulions partir à l'université ensemble, se marier, fonder une famille et du jour au lendemain tout était tombé à l'eau, à mon plus grand malheur. Il était évident que si Aidan et moi étions mariés, notre vie, du moins sa vie serait beaucoup plus belle. Il sera heureux, il n'aurait pas à être infidèle, car je lui donnerais tout ce dont il a besoin. Aidan était un homme qui, sous ses grands airs, avait besoin de beaucoup d'attention, d'affections, besoin de beaucoup d'amour. Il était très attentionné avec moi, je m'en souviens comme si c'était hier, il me traitait comme une vraie princesse, mais c'était bien parce que moi aussi, je le traitais comme un prince. J'adorais le câliner, l'embrasser à l'époque. Et je pense que si lui et moi étions menés à se remettre ensemble un jour, ces petites habitudes allaient être reprises très naturellement. Nous étions un couple uni et fusionnel, et c'est ce qui faisait notre force. A deux, nous étions plus fort.

« Tu ne devrais pas te fier à internet, c'est ce qui t'empêchera encore plus de prendre tes décisions. En effet, un bébé ressent toutes les humeurs positives comme négatives de sa maman, mais si elle est d'accord avec ton point de vue, elle doit déjà être malheureuse, et ta fille aussi au passage, peut-être qu'au contraire, ça vous arrangerait, toi comme elle. Pour le savoir, il faut que tu lui parles. Et oui, au fil des semaines, ta femme sera encore plus chiante qu'elle ne l'est déjà. Bien que je ne la connaisse pas. »

Je m'y connaissais un peu niveau grossesse, bébé... Je m'étais parfois renseignée si jamais l'occasion était venue, mais elle n'était jamais arrivée. Ceci dit, c'était toujours bon à savoir pour le futur. Alors que nous étions en train de discutés, Aidan s'était approché de moi, afin de me remettre une mèche de cheveux en place. J'étais prise de frisson, en sentant sa main effleurée mon visage. Il posait sa tasse, et je fis de même. Je le regardais, en souriant. J'étais appuyée contre mon bureau, lui était en face de moi. J'avais envie de l'embrasser, mais c'était mal. Bien que l'envie était trop présente, j'hésitais à sauter le pas. Je posais mes mains sur son torse, tout en le regardant, avec un léger sourire timide. Et puis j'avais décidé de penser à moi, et de céder à la tentation. Je m'étais approchée de son visage, et j'avais posé mes lèvres sur les siennes. Qu'est-ce que je me sentais bien... C'était peut-être mal, mais j'en avais besoin, j'avais beaucoup trop envie de lui pour ne pas céder. Il était peut-être marié, mais lui comme moi avions une certaine envie, l'un de l'autre.

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Lya & Aidan

Me confier me faisait réellement du bien, je me sens soulagée d'un poids en parlant avec Lya, je ne sais pas si c'était la bonne personne vue nos sentiments réciproques mais je sais que je peux tout lui confier. Et si besoin elle peut se confier à moi je lui dois bien cela. Oui nous étions un couple si parfait à l'époque et vraiment amoureux, j'avais étais le plus heureux de ma vie quand nous étions ensemble. Je voulais toujours la gâté et la rendre la plus heureuse du monde comme une princesse et parfois avec des petits cadeaux que je prenais sur mon argent de poche et si besoin de plus je demandais à mes parents, venant d'une famille aisée ce n'était pas un problème. Même si mes parents tenter de pas toujours nous donner ce qu'on désire pour nous faire comprendre la vie et qu'au fond l'argent ne pousser pas des arbres. Malgré que ma petite soeur avait tout ce qu'elle veut c'était la seule fille et la petite dernière alors elle était gâtée. Lya était mon grand amour la seule que j'ai aimée et grâce à elle j'ai découvert l'amour le vrai et c'était quelque chose de magique d'être amoureux et c'était la plus belle chose au monde qui existe. Puis avec Lya j'étais bien, je me sentais réellement aimé et gâté, elle me prouver toujours son amour et j'aimais beaucoup cela. À mes yeux Lya était la femme parfaite, elle a aucun défaut. Façon j'étais tellement heureux que je voulais faire ma vie avec elle, me marier et fonder une famille alors que j'avais jamais ressenti cela avec les autres filles que j'avais eu auparavant. Je voulais faire tout avec elle, nos études dans le même établissement et même prendre un appartement ou loft à deux, j'étais prêt à tous cela, mais j'ai tout gâché en la quittant, et j'ai brisé notre bonheur et notre vie future. À deux on pouvait compter l'un sur l'autre et s'entraider.

« J'ai entendu dire qu'il ne fallait pas chercher sur internet car on s'embrouille le cerveau mais j'ai voulu un peu me renseigner, même si je fais croire à ma femme que je m'en contre-fiche du bébé ce qui est un peu vrai mais je veux savoir dès choses. Car si je divorce et que je l'aurais un week-end ou autre je ne sais pas m'occuper d'un bébé surtout si je suis tout seul avec ma fille. Donc le bébé ressent quand on se dispute et qu'elle est énervée. Je ne sais pas si elle sera de mon point de vu c'est ça qui me fait peur, si seulement je le savais je lui aurais déjà tout avoué. Ça parait simple à dire qu'il faut que je lui parle mais une fois devant elle je perds mes moyens et aucun mot ne sort de ma bouche. Super je vais l'étrangler avant qu'elle accouche alors, je n'ai pas fini de découcher. Crois-moi faut mieux pas que tu la connaisses, elle peut être adorable et un vrai ange mais aussi un vrai démon quand elle veut.»

Je ne voulais pas qu'elle rencontre ma femme, Saige aller encore péter un câble sur Lya alors qu'elle n'a pas l'habitude, moi je suis rodée à force et j'ai l'habitude de l'entendre crier ou râler ça fait partie de mon quotidien. J'étais face à Lya à la regarder et sourire, quand elle me sourit je fonds littéralement, son sourire était magnifique. Puis la façon qu'elle est appuyée contre son bureau, me donne des envies particulières, je regarde son corps qui me donne envie d'elle comme s'il m'appeler. J'allais jamais tenir à ne pas l'embrasser, ne pas la toucher façon plus les minutes passent plus j'ai envie d'elle, c'est comme si je ne contrôler plus mon corps, pour les hommes on contrôle rien quand ça vient on peut rien faire à part attendre que ça passe. Lya pose ses mains sur mon torse et je souris également, nos visages si proches, ma respiration s'accélère, j'avais beau me dire que c'était une amie, rien ni fait je voulais aller plus loin et goûter de nouveau à nos ébats comme à l'époque. Lya m'embrasse et là je ne pouvais pas la repousser jamais de la vie. Et c'est elle qui disait de ne pas faire de conneries malgré l'envie mais je vois que son envie est trop forte et qu'elle ne peut pas résister, je me sentais moins seul avec cette envie. Je l'embrasse aussi c'était une sensation de plaisir, je la tiens par la taille pour commencer mais une main va derrière son dos pour lui caresser son dos et ses longs cheveux et l'autre main se balader sur le haut du corps de Lya, ma main aller toucher un peu sa poitrine par-dessus ses vêtements pour commencer, mais je voulais profiter de ce moment et je ressens qu'elle en a autant envie de moi...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Après avoir conseiller à Aidan de ne pas regarder les horreurs d'internet, je m'étais souvenue de quelques souvenirs. Lorsque ma mère est tombée malade, le premier réflexe que nous avions eu, c'était en effet d'aller voir sur internet. Et c'est en parti à cause de ce mauvais lieu d'information que nous avions tous perdus espoir. Nous savions que ma mère allait mourir, mais en voyant des horreurs, nous n'avions même plus envie de me nous battre avec elle, pour elle. Je m'étais vite remis les idées en place pour écouter Aidan. J'avais à peine suivi le début de sa phrase, alors j'écoutais attentivement le reste. Il avait l'air totalement perdu, et j'étais prise par un élan de peine. Comment pouvait-il supporter une vie aussi monotone ? Une vie aussi triste, avec une femme qu'il n'aimait même pas ? Et surtout, simplement pour faire "plaisir" à son père. Si ce dernier était au courant de la triste vie que mène son fils, il ne serait pas fière d'avoir voulu présenter cette femme, et peut-être faire les choses bien finalement. J'étais profondément triste pour Aidan, malgré tout le mal qu'il avait pu me causé à moi, et ses anciennes conquêtes, il ne méritait en aucun cette situation, personne ne méritait ça. Je ne pouvais pas à répondre à ce qu'il me disait, je me sentais un peu mal à l'aise, et surtout, Aidan avait effleuré mon visage... Je le regardais faire, je l'avais laissé faire, parce que j'en avais envie. En tant qu'amie, j'aurais peut-être dû le repousser, mais c'était impossible. Il m'attirait beaucoup trop pour ça. Alors, par impulsion, je l'avais embrassé, un baiser langoureux, que je ne regrettais aucunement. J'avais senti ses mains baladaient le long de mon dos, de mon corps. Je poussais ce qu'il y avait sur mon bureau, et je m'asseyais entraînant Aidan avec moi, le collant contre moi. Le baiser échangé était de plus en plus langoureux, de plus en plus torride. Je passais mes mains sous le tee-shirt d'Aidan, je frissonnais en sentant son corps contre le mien. J'interrompais le baiser, ma respiration était très forte. Je le regardais dans les yeux, et un large sourire s'affichait sur mon visage. Comment résister à cet homme ? Comment résister à l'homme, dont j'étais amoureuse depuis toujours ? C'était impossible, et lui comme moi le savions.

« C'est mal Aidan, mais j'ai envie de toi.. »

Je devais certainement avoir légèrement rougi après lui avoir avouer que j'avais envie de lui, mais il fallait que je lui dise. Moi-même je savais que si nous commettions cette acte, ça allait peut-être une grosse erreur, mais nous en avions sûrement besoin. Peut-être qu'en recouchant ensemble, nous allions découvrir la vraie nature de nos sentiments. Si c'était seulement la joie de se retrouver au bout de temps d'années, ou si c'était l'envie qui nous avait jamais quitté, et qui nous quitterait jamais, si c'était bien lui, le bon, et bien moi la femme qu'il avait toujours aimé. Je le regardais, après avoir légèrement ris. Je ne savais pas trop quoi faire, j'étais contre lui, je sentais la chaleur de nos deux corps. J'avais toujours mes mains sous son tee-shirt, délicatement posées sur son torse, que je caressais du bout des doigts. Je le désirais tellement.

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Lya & Aidan

J'écoutais les conseils de Lya, fallait que j'arrête de regarder sur internet en plus je sais qu'il y a des conneries dessus mais pas tout le temps parfois c'est vrai et là elle a confirmé alors je n'avais pas lu de bêtise, mais bon il fallait que j'arrête de me prendre la tête et prendre mon courage mais ça j'ai peur que ça ne soit pas demain la veille. Je souhaite à personne de vivre ce que je vis et si je dois donner un conseil ne vous mettez pas en couple avec quelqu'un que vous n'aimez pas et ne dîtes pas que les sentiments finiront par arriver avec le temps en apprenant à connaître l'autre, c'est ce que je me suis dit et ce n'est pas arriver aucun sentiment, je l'apprécie comme une copine alors que c'est ma femme. Après j'étais pris à mon propre piège à mon propre mensonge que j'ai continué et je m'enfonce un peu plus durant toutes les années qui passent. Ecouter votre cœur, ne fait pas confiance aux autres mais à soit même, après tout on est maître de notre vie et cela je l'ai compris un peu trop tard j'étais déjà coincé dans mon mensonge. Maintenant je m'en mords les doigts d'avoir prit cette vie qui est devenue un vrai bordel que j'ai du mal à gérer avec le temps. Mais à cause de mes bêtises j'ai peur de dire adieu à mon plus grand amour et franchement je peux en vouloir qu'à moi... Je me retrouver proche de Lya et j'avais effleuré son visage en remettant sa mèche, j'avais qu'une envie l'embrasser depuis la dernière fois que je l'ai embrassé j'avais qu'une envie recommencer tout le temps et j'avais l'impression que notre baiser de retrouvailles dater à des mois alors que non. Mais c'est Lya qui fait le premier pas décidément les femmes pour les suivent c'est compliqué mais rien que de sentir ses lèvres contre les miennes me donne un frisson qui me parcourt le corps, notre baiser devenait un baiser langoureux et fougueux, et quand un se termine on en reprenait un de plus belle c'était torride comme ça l'était avant mais là avec les années de séparation c'était encore mieux, nos retrouvailles aller être magique. Je la laisse passer ses mains et sens ses doigts toucher ma peau, j'adorais cette sensation. Maintenant on ne pouvait plus faire marche arrière ça serait un déchirement et c'était impossible on en avait bien trop envie pour dire stop. « C'est mal Aidan, mais j'ai envie de toi... » A ses paroles je souris heureux, l'entendre dire cela de ça bouche était formidable et je savais bien qu'on n'aurait pas pu résister longtemps. Je la regarde et tiens son visage entre mes mains.

« Je ne trouve pas cela mal, quand deux personnes s'aiment il est normal de faire l'amour et on en meurt d'envie depuis qu'on sait revus. Je peux même t'avouer que j'ai rêvais qu'on faisait l'amour et imagine ma déception quand j'ai compris que ce n'était qu'un rêve et qu'à mes côtés dans le lit ce n'était pas toi. J'en ai tout aussi envie que toi, laisse-toi aller tu ne le regretteras pas.»

Après mes paroles je l'embrasse de nouveau si langoureusement et mes baisers descendent dans son cou et lui embrasse aussi son lobe d'oreille pour lui faire montrer l'envie que j'avais envie d'elle. Mes mains descendent le long de son corps et j'attrape son débardeur et lui remonte pour lui retirer et avoir à vu sa magnifique poitrine si bien faite et son soutien-gorge qui faisait une magnifique paire. Je ne me lasse pas de les regardait, et tellement prit dans l'élan que je m'approche encore le plus possible de son corps et je lui embrasse le corps et sa jolie poitrine et en posant ma main sur le côté au bureau je fais tomber les crayons dans le pot, en entendant un boum je m'arrête et regarde parterre et la regarde d'un air désolé et reprends ses baisers sur le corps de Lya ainsi que ses caresses sur le corps de sa dulcinée. Le désir monter de plus en plus mais je voulais profiter le plus possible de notre moment intime après sept ans. J'attrape mon porte-feuille dans la poche arrière de mon jean's et le pose sur le bureau, oui j'avais des préservatifs dedans, étant infidèle je sortais toujours couvert et ce n'est pas le moment de me retrouver encore papa ça serait du suicide un bébé me suffit... Je profite du corps de Lya et remonte vers elle et l'embrasse un peu sauvagement...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

J'étais totalement enivrait par la beauté d'Aidan. Il me rendait dingue. Quand ses mains se posaient sur mon corps, je n'avais qu'une envie, c'était de l'embrasser, de lui sauter dessus et de faire l'amour avec lui. Nous étions dans mon garage, en train de s'embrasser, n'importe qui pouvait nous surprendre, et je dois avouer que c'était totalement excitant. Nous étions en période de fêtes, je n'avais quasiment jamais de clients dans la matinée, alors nous allions être tranquil, du moins je l'espérais. Je n'avais plus envie de me poser de questions, j'avais simplement envie de profiter du moment présent, profiter d'avoir Aidan, rien que pour moi, pour une seule et unique fois, peut-être pas la dernière, mais la première depuis déjà sept ans. Il m'avait manqué, oui, et je me rendais d'autant plus compte alors que la chaleur commençait à monter entre nous. Je me rendais compte, que je ne m'étais absolument pas trompée sur la nature de mes sentiments et que j'étais toujours autant amoureuse de lui, comme au premier jour, comme durant mes années lycées. Je m'étais installée délicatement sur le bureau, tout en continuant de l'embrasser. Je lui avais avoué avoir envie de lui, et son geste m'avait touché, il avait tenté de me rassurer, et à vrai dire c'était réussi. Il ne fallait plus résister, nous n'avions pas tenus bien longtemps, mais c'était beaucoup trop difficile. J'avais bien trop envie de lui, bien trop envie de l'avoir contre moi, en moi. J'allais peut-être regretter cette action d'ici quelques temps, mais ça n'avait pas d'importance. Après tout, je ne connaissais pas sa femme, et je devais penser à moi. Peut-être qu'en refaisant l'amour ensemble, Aidan se déciderait à parler à sa femme, à la quitter, et enfin nous pourrions être ensemble. J'en doutais, il avait peur et je le comprenais totalement. Je ne sais pas comment j'aurais fait, à sa place. Je ne me posais pas vraiment la question. Alors que nous étions en train de nous embrasser, Aidan avait enlevé mon débardeur. Des frissons avaient parcouru mon corps, j'enlevais à mon tour son tee-shirt, en déboutonnant doucement son jean. Il avait sorti des préservatifs, ce qui me fit sourire. J'étais sûre qu'au moins, il se protégeait lors de ses infidélités. Je me relevais alors, afin d'embrasser délicatement le cou d'Aidan, et en lui caressant le haut de son corps du bout des doigts. Je commençais à mon tour, à déboutonner mon jean, sans m'éloigner de son corps, qui était tellement chaud. Je mis fin à ces baisers que je déposais délicatement sur son cou, afin de le regarder dans les yeux. Mes yeux brillaient. Je reposais donc mes lèvres sur les siennes afin de l'embrasser langoureusement.

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Lya & Aidan

Je ne regrettais pas d'être venu au garage, si j'avais su je serais venu avant. Mais savoir le corps de Lya coller au mien me rendais tellement bien, de bons souvenirs remonter à la surface. Cela fait des années que j'espérais cela et finalement c'était concret comme quoi nos pensées ou rêves peuvent devenir réalité. Si je m'écoute je resterai coller à elle et à l'embrasser toute une journée, je me voyais bien une journée entière au lit à deux à profiter l'un de l'autre. J'étais totalement amoureux de Lya rien que de sentir le plaisir rien qu'au fait qu'elle me caresse le torse avec le bout de ses doigts et qu'elle m'embrasse, J'ai des sensations que je ne ressens jamais avec d'autres femmes, puis elle m'avoue avoir envie de moi et je la réconforte car elle dit que c'était mal mais je ne voulais pas qu'elle regrette ce qu'on allât faire. Moi c'est certains je ne le regretterais pas c'est impossible. Je savais déjà mon choix, c'était elle je n'avais pas besoin dit réfléchir je la voulais dans ma vie pour être enfin heureux. Mais il va me falloir à peu de temps avant de tout annoncer à ma femme il faut que je réfléchis clairement à ce que je vais lui dire pour qu'elle souffre le moins possible. Lya avait retiré elle aussi mon haut et commençait à déboutonner mon pantalon je la laisser entièrement faire et j'avais une idée bien farfelue en tête, surement un de mes fantasmes. Mais il n'y avait aucun client et je voulais tenter l'expérience, reste à savoir si Lya veut elle a peut-être pas le même délire que moi, alors qu'on s'embrasser langoureusement je la regarde dans les yeux.

« J'ai une sale idée en tête, j'aime beaucoup ton bureau mais c'est un peu plus banal alors que. » Je souris et je m'approche de son oreille et lui murmure la fin de ma phrase.« Faire l'amour sur le capot de l'une de tes voitures dans le garage me tenterait, pas toi ? Il y a des voitures neuves et si on essayais la voiture mais sur le capot ? On dit toujours d'essayer la marchandise avant d'acheter.»

Je souris d'un air content, elle aller me prendre pour un fou mais ce n'est pas grave, Lya me connaît par cœur. J'adorais l'embrasser dans le creux de son cou ou l'embrasser tout court d'ailleurs. Je continue mes caresses et quand elle se relève pour venir m'embrasser au cou je la laisse faire et ferme les yeux, j'avais des frissons de plaisir, j'en profite à présent pour abaisser la fermeture de son pantalon et de lui abaisser son jean's. Je lui caresse les cuisses délicatement et quand elle me regarde et je souris d'un homme des plus heureux et les yeux pétiller de bonheur, je prolonge son baiser d'une façon toute aussi langoureux. En entendant sa réponse si elle accepte ou non mon envie étrange. Mais j'étais déjà prêt à la porter jusqu'à de l'autre côté en espérant qu'aucun client rentre...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Je n'étais pas réellement sûre que coucher avec Aidan serait une bonne idée, j'allais sûrement le regretter mais maintenant, il était impossible de reculer et je n'en avais surtout pas envie. Encore une fois, tout aller si vite, il était venu d'abord pour prendre un café, il avait simplement envie de me voir, et nous voilà en train de s'embrasser, de se déshabiller prêt à franchir le pas. Il était évident que ces derniers jours, j'avais radicalement changé ma personnalité, ou alors, c'était peut-être les sentiments, l'amour qui me faisait changer. Habituellement, je n'aurais sûrement pas avoué mes sentiments à un homme marié, et encore moins coucher avec. On dit souvent que le meilleur moyen de résister à la tentation, c'est d'y céder, et c'est d'ailleurs ce qui allait se passer. Nous étions en train de nous embrasser, très langoureusement, les doux baisers d'Aidan qui se déposaient sur mon corps, me rendait folle, mais pourtant, il fallait profiter du moment. Sa proposition ne me surprenait pas. Il m'avait demandé d'aller sur le capot d'une voiture. Un large sourire s'était affiché sur mon visage. Je le connaissais par coeur et c'était évident pour moi qu'Aidan ait un fantasme pareil. Mais à vrai dire, je n'étais pas contre. C'était tout à fait excitant de faire l'amour sur mon lieu de travail, d'autant plus avec un homme aussi sexy lui - l'homme que j'aimais - et bien évidemment, la peur qu'un client débarque alors que nous serions en pleine action. La mécanicienne sexy en plein ébat amoureux dans son garage, il ne faudrait pas que cela fasse la une des journaux ... La femme d'Aidan pourrait l'apprendre, et bizarrement ça m'exciter d'autant plus, pourtant, c'était très mal.

« Et bien réalisons ton fantasme, emmène-moi. »

Aidan et moi nous étions souris. Il m'avait enlevé mon jean, et je fis de même pour lui de manière à ce que nous soyons en sous-vêtement. Il m'avait porté, et il m'avait emmené à l'intérieur du garage, j'avais pris soin de prendre ma petite télécommande pour abaisser les grandes portes. Nous étions arrivés sur une voiture, le capot fermé, et il m'avait délicatement posé dessus. Je caresserais tout le corps d'Aidan du bout des doigts alors que mes lèvres s'étaient doucement posées sur son cou. Je lui griffais doucement le dos, en faisant durer notre plaisir, et avec l'envie qui montait de plus en plus.

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Lya & Aidan

Tout avait était très rapide comme la première fois qu'on sait revue dans le parc, j'étais venu la voir pour boire un café mais l'envie était trop forte pour refuser façon je savais qu'on allait craquer c'était obligatoire vu nos sentiments et notre relation qu'on a eu sept ans auparavant. Mais aujourd'hui j'étais heureux qu'elle ait changé sa personnalité sinon elle m'aurait repoussé. Nous étions en train de nous embrasser, de nous caresser en commençant à se déshabiller j'avais hâte de voir son corps dénudé. Je lui avais proposé d'aller dans le garage pour faire notre action, le faire sur une voiture devait être top, surtout que Lya adore les voitures alors elle devrait aimer en plus dans son propre garage s'est juste parfait. Je voulais qu'elle se souvienne longtemps de nos retrouvailles et là je pense qu'elle va s'en souvenirs encore longtemps. Bon il y avait un risque que quelqu'un débarque et là cela couperait mon envie mais je crois que je ne pourrais pas m'empêcher de rire ensuite. Après tout c'est la nature et on fait rien de mal à ce faire du bien. Surtout il ne faudrait pas que ça termine dans les journaux, je serais un homme mort pour Saige, malgré que quand je découche elle doit se douter, mais nous en avons jamais parler. Mais je ne voulais pas penser à ma femme à l'heure actuelle, je suis bien trop occupé dans ce que je fais et je peux que penser à Lya la femme que j'aime et je désire plus que tout surtout là tout de suite. Quand j'entends qu'elle accepte et qu'elle me dit « Et bien réalisons ton fantasme, emmène-moi. » Je souris et j'étais heureux qu'elle accepte. Réalisé un de mes fantasmes ça s'était un beau cadeau surtout avec la seule et unique femme que j'aime, ça allait être un moment magique... J'avais retiré son pantalon et je la regarde de la tête aux pieds mais qu'est-ce qu'elle était sublime et ce corps me fait rêver. Avant de la porter, j'attrape un préservatif et je la porte tout en l'embrassant et je fais attention où j'allais. Je l'avais posé délicatement sur le capot et je souris car je ne doute que ça dût être un peu froid. Mais elle allait vite se réchauffer et elle va vite avoir trop chaud. Je profite de ses caresses qui me donnent de plus en plus d'envie et ses baisers dans le cou me fondent frissonner et je souris tellement j'aimais. Je l'embrasse un peu partout sur le visage en le regardant droit dans les yeux ensuite je craque totalement face à elle c'était hallucinant. Je pose le préservatif à côté et je l'embrasse sur le corps et à niveau de sa poitrine je dégrafe son soutien-gorge et profite de la vue magnifique, j'adore sa poitrine si bien dessiner, j'embrasse alors sa poitrine et je retire délicatement son dernier vêtement du bas pour qu'elle se retrouve entièrement nue. Mes mains se baladent sur tout son corps pour terminer sur son intimité pour lui procurer du plaisir et faire quelques préliminaires. Il l'embrasse de nouveau sur ses lèvres et lui mordille la lèvre inférieure. L'envie monter de plus en plus, il la désirait d'un point inimaginable. A présent rien ne pouvait l'arrêter...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

Nous allions sauter le pas, oublier les règles que nous nous étions fixés, et nous allions coucher ensemble. L'envie était bien trop présente pour résister, à peine arriver, nous nous étions sautés dessus, comme pour profiter du moment où nous étions seuls. J'avais une terrible envie de lui, une terrible envie de l'embrasser, et nous n'avions pas résisté, c'était impossible. Résister à Aidan ? Non, jamais. Je n'y étais jamais arrivée, seulement une fois, mais à chaque fois, lorsque nous étions au lycée, je retombais dans ses bras, je l'aiais tellement, je le désirais tellement qu'il m'était impossible d'être loin de lui. Aidan m'avait parlé de son fantasme, il voulait aller dans le garage même, sur une voiture. J'avais trouvé ça totalement excitant, et à vrai dire, ça ne m'avait pas étonné. Aidan était totalement le genre d'homme à vouloir tester plusieurs expériences et lorsque nous étions ensembles, même si il avait été ma première fois, c'était l'une des choses qui m'avaient plu chez lui, l'une des choses qui me donnaient envie d'aller loin, très loin. Il m'avait porté, jusqu'à ce qu'il me pose délicatement sur le capot d'une voiture. Je souriais, en l'embrassant, j'avais l'impression de retomber dans l'adolescence et j'adorais ça, j'adorais ce moment. Je n'arrivais pas à penser à sa femme, qu'il allait une énième fois tromper, mais cette fois-ci tromper avec la femme qu'il aimait, la femme dont il était amoureux depuis toujours. J'avais envie de penser à moi, d'oublier tout le reste, toutes les épreuves que nous avons dû traversé. Alors que nous étions en sous-vêtement, dans mon garage, et qu'il m'enlevait les dernières choses que j'avais sur moi, je fis de même. Ses baisers sur mon corps me faisaient frissonner, j'avais tellement envie de lui, qu'il était difficile de se contrôler. Nous nous embrassions, langoureusement, sans s'arrêter, quand je sentais que sa main se déposait sur mon intimité. Je commençais à gémir doucement, en passant mes bras sur son dos, et en le griffant doucement. Alors qu'il me procurait un plaisir fou, ma main se déplaçait doucement sur son sexe afin de faire de léger vas-et-viens. Je ne pouvais pas lâcher ses lèvres, mes gémissements passaient à travers, et la situation dans laquelle nous nous trouvions était totalement excitante. J'attendais avec impatience le moment où il serait en moi, le moment où n'allions former plus qu'un.

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Lya & Aidan

Respecter des règles avec la personne qu'on aime c'est juste trop difficile surtout après sept années de distances. Puis la Lya m'a sauté dessus et je ne pouvais pas la repousser, j'en mourrais autant d'envie qu'elle et j'étais heureux qu'elle me saute dessus car moi je ne sais pas si j'aurais oser vu qu'elle m'avait parlé de rester amis le temps que je sois toujours marier. Et à présent je ne pensais pas à ma femme, puis de toute manière je n'avais aucun remords à la tromper, je sais que cela est méchant mais je n'ai pas de sentiments pour Saige a part de l'amitié car je l'apprécie quand même, je ne peux pas la détester. Mais j'avais l'habitude de la tromper et la avec la femme que j'aime c'est juste merveilleux, cela rappelle de très bons souvenirs de l'adolescence quand nous étions ensemble et sa première fois aussi. La nous allions de nouveau faire l'amour avec un plaisir certain. Nous nous embrassons amoureusement, nos lèvres restent coller, nos langues s'amusent à tourner autour l'une de l'autre, nos mains se baladent sur le corps, le désir montent de plus en plus. En plus le faire dans le garage j'avoue que l'excitation était réellement plus présente au fait de le faire dans son garage sur une voiture avec un risque qu'un client débarque... Je ne sentais pas qu'elle me griffer légèrement, l'envie était trop présente et le plaisir aussi. Je continue de l'embrasser langoureusement j'aimais trop ses baisers et quand ma main se dépose sur son intimité à la caresser, et mes doigts s'amusent dans son intimité tout en l'entendant gémir malgré nos baisers langoureux. Quand je sens ses mains sur mon sexe je frisonne et j'adorais ses gestes qui me donner encore plus d'envie, je n'avais jamais eu aussi vite envie d'une femme mais là c'était Lya alors l'envie était vraiment importante. Mais je tente de me dépêcher un peu car nous prenions du temps sur ses heures de travail alors j'attrape le préservatif que j'avais posé sur le capot et je défais délicatement l'emballage et j'enfile le préservatif. Je l'embrasse de nouveau c'était comme si mes lèvres m'appeler. Tout en l'embrassant je la pénètre doucement car j'étais un homme doux même si ce n'était plus sa première fois mais je ne vais pas y aller comme une grosse brute. Cette fois nous faisions qu'un et je commence mais va-et-vient tout en douceur et je l'embrasse et pour reprendre un peu ma respiration je la regarde dans les yeux tout en faisant mes mouvements et je l'embrasse ensuite dans le cou d'une façon très sensuelle...

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Aidan & Lya

Fuis moi, je te suis.

J'avais peur de ce qui allait se passer après ce que nous allions faire. Après avoir fait l'amour. Et si finalement, il se rendait compte que je n'étais pas celle qu'il aimait réellement ? Et si finalement, il préférait sa femme, et qu'il s'était trompé sur la nature de ses sentiments ? Un tas de questions venaient de défiler dans ma tête, et pourtant ce n'était ni l'endroit et encore moins le moment, à deux doigts de passer à l'action. Mais avec les hommes, j'avais appris à me méfier, j'avais appris à m'attendre à tout, étant donné qu'ils étaient tous remplis de vices. La preuve, Aidan, qui était marié, passer son temps à tromper sa femme, et cette fois-ci avec moi. Etais-je une mauvaise personne ? Non, j'étais seulement amoureuse. Amoureuse de l'homme avec qui j'avais connu pour la première - et dernière - fois l'amour, l'homme avec qui j'avais fait ma première fois, le premier homme que j'avais présenté à ma famille, le premier homme dont j'étais follement amoureuse. Et de toute évidence, je n'aimerais jamais personne comme j'ai pu aimé Aidan. Il avait été, et est toujours d'ailleurs, le plus important dans ma vie, après mon frère et mon père évidemment. J'avais souvent rêvé que nous étions mariés, avec une grande maison, des enfants, moi qui avait mon garage, lui dans la justice, avec une vie parfaite, beaucoup d'argents. Et puis je revenais à la réalité, en me disant que les contes de fées n'existaient pas, que ce n'était que de simples histoires. Je pense qu'en réalité, une partie de chaque femme sur Terre croit encore à ce genre de monde féerique. Un monde rempli d'amour, avec des princes charmants pour chaque princesse. Seulement la dure réalité refait vite surface, et on en oublie de rêver ...

Assis sur le capot, la tension commençait à monter, la chaleur était venue s'installer, nous étions en train de nous embrassés langoureusement, nous profitions de nos préliminaires, aussi délicieux soient-ils. C'était parfait, Aidan était parfait, il me rendait dingue, il me procurait toujours autant de plaisir, comme avant. Pendant que nous nous embrassions, je l'avais vu sortir son préservatif. Après m'être légèrement cambrer, je sentais le sexe d'Aidan entrait en moi et un gémissement s'échappait de ma bouche. Je passais mes bras autour de son cou, passant mes doigts sur son dos, et le griffant légèrement. Ses vas-et-viens me rendaient folle, je laissais échapper des gémissements, de plus en plus bruyant, et de plus en plus rapprochés. Je passais un moment de folie. Je l'embrassais toujours pendant qu'il me pénétrait. Je posais mon front contre le sien, souriant pendant ses mouvements, je me mordais légèrement la lèvre inférieur pour lui montrer à quel point il me procurait du plaisir. Je voulais profiter de ce moment, je ne voulais pas que cela s'arrête... C'était tellement excitant, de me retrouver dans mon garage, avec mon premier amour, en train de faire l'amour sur le capot d'une voiture. Je repris mes baisers langoureux, afin d'éviter de faire trop de bruits, si jamais un passant entendait des cris et qu'il s'arrêtait, la situation serait un peu trop gênante et ma réputation en prendrait un coup ...

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Lya & Aidan

Moi je  n'avais pas peur de la suite surement parce que j'avais l'habitude de tromper ma femme et que ça ne me fais plus rien et actuellement faire l'amour avec la seule que j'aime je suis là de m'en mordre les doigts. Je n'avais pas pensé à Lya ensuite je ne sais pas si elle avait déjà couché avec un homme marié car je me doute qu'elle ait eu des hommes durant ses septs longues années mais je ne veux pas savoir qui a eu droit son corps à mes yeux j'aurais aimé qu'il y est que moi qui la vois nue mais c'était raté, mais maintenant que je suis revenu je compte surveiller même si elle peut avoir des hommes je suis marié alors j'ai rien à dire mais au fond de moi je serais jaloux. J'ai cette vilaine manie d'être jaloux surtout quand un autre homme s'approche de trop de celles que j'aime. Je ne devrais pas on n'est pas en couple mais c'est plus fort que moi si je vois un mec draguer Lya je vais intervenir et faire croire au mec qu'elle n'est pas libre et que je suis son petit-ami. Je ne pouvais pas laisser Lya après ce que nous allons faire au non jamais je ne peux ne plus l'aimer et me dire je préfère ma femme c'était impossible. Depuis sept ans que je pense à elle, sept ans que j'ai envie de la voir, de lui parler, de la serrer dans mes bras, de lui faire l'amour, de l'embrasser, de la faire rire, de la rendre heureuse enfin j'ai envie de tout avec elle. J'aurais tellement aimé rester en couple avec elle, me marier avec elle et qu'elle soit enceinte là je l'aurais surement accepter ce petit bébé car c'était avec la femme que j'aime mais là ce n'est pas le cas alors ça change tout et je vais devoir faire face à tous cela. Quand on est petit on nous fait croire à un monde merveilleux ou tout est beau et rose et finalement ce n'est pas toujours le cas, tout ce qu'on croyait est juste dans nos rêves car dans la réalité il faut faire face à beaucoup de soucis...

Pour le moment j'étais trop occupé à ce que j'allais faire avec Lya, je profite de nos préliminaires si agréables et je sentais le désir monter de plus en plus face aux minutes qui passer, la chaleur arrive aussi déjà qu'il ne faisait pas froid dans son garage mais là j'allais finir tout transpirant. Mais Lya me fait un effet de fou, j'avais de plus en plus envie d'elle je ne pouvais pas contrôler ce genre de chose. Après avoir enfiler le préservatif et l'avoir pénétrait ou j'entendais déjà du plaisir, je souriais elle n'a pas changé et j'aime beaucoup cela. Nos baisers langoureux étaient toujours présents c'était impossible nos lèvres ne pouvais se séparer c'était comme si elles sont collées et j'aime tellement sentir ses lèvres contre les miennes. On reprend quand même notre souffle nos fronts se colle et je vois qu'elle se mordille la lèvre inférieure au plaisir que je lui procure, je souris tout en continuant mes mouvements et j'accélère ensuite la cadence et j'ai des bruits de plaisir sortir de ma bouche. Mes mouvements étaient plus rapides, ma respiration était de plus en plus forte , Lya prenait de plus en plus de plaisir vu le bruit de ses gémissements que j'adore entendre. Nous reprenons nos baisers langoureux pour éviter de faire trop de bruit car on ne sait jamais si quelqu'un nous entend ça ferait du tort à Lya et des clients n'oserait plus venir en sachant que la mécanicienne batifole sur les voitures qu'elle répare. Je l'embrasse si amoureusement pour faire le moindre bruit possible tout en continuant mes mouvements encore de plus en plus vite durant de très longues minutes, j'étais tellement excité tellement fou d'elle actuellement, je sens un moment plus tard l'envie vraiment arriver à terme, je donne des coups de bassin et je pose mes mains ce ballade sur ses cuisses puis je sens ma semence partir dans le préservatif et j'ai un long gémissement de plaisir qui s'entend. Je ne savais pas si elle avait pris du plaisir si elle avait monté au septième ciel mais moi elle m'a rendu totalement fou, je l'embrasse follement et l'acte était finit à mon plus grand malheur car j'étais si bien en elle. Je finis par la regarder dans les yeux et sourires puis je finis par me retirer d'elle puis je retire le préservatif et je regarde partout dans le garage à la recherche d'une poubelle...

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